• Concert audio intégral (41 mn)
des Hellboys le 22 décembre 2015
au Bus Palladium
en écoute sur ce lien :
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— Vidéo professionnelle
(par Thomas Boujut)
live le 22 décembre 2015
de “Mutant Love” :
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Adanowsky, Ghani El Hindi,
Nikola Acin, Christophe Lagarde.
(© Dimitri Coste 2006)
Caroline de Maigret (Bonus Tracks Records)
et Nikola Acin dans les loges du Gibus,
le 9 mai 2008, après le concert des Hellboys.
(© Coralie Trinh Thi)
Photo extraite du livre
“Kids Rock” (2010) de Busty.
YAROL POUPAUD
& THE HELLBOYS
& PHILIPPE ALMOSNINO
Mardi 22 décembre 2015
au Bus Palladium (Paris),
Dans le cadre du concert “Rock’n’roll Tuesday”
organisé par Philippe Manœuvre, sa fille Manon
et le journal Rock&Folk :
« Soirée très très spéciale : Nikola Acin n’est pas parmi nous ce soir. Il a eu un empêchement. Mais il est dans
nos cœurs. On joue et chante pour lui. »
© Yarol Poupaud (1), sur scène
avant la première chanson.
22 décembre 2015 :
Philippe Manoeuvre sur la scène du Bus
photographié par © Didier Wampas.
« Okaayy ! Vous êtes contents, vous avez du rock’n’roll ? Wohoouuuh ! Bon, au départ de tout ça (avant fin 2004
et l’arrivée des Naast, Brats, Plastiscines, Shades, Second Sex, etc., ND FG), il y avait les Hellboys. Il faut bien
le reconnaître, c’était le dernier groupe français de rock pendant des années. Avec Yarol qui jouait à l’époque
de l’orgue et du piano, si je me souviens bien.
Tout le groupe est là, les membres originaux. On dédie
ce concert à Nikola Acin. Voici les Hellboys ! »
© Philippe Manœuvre
22 décembre, de 23h20 à minuit, les Hellboys rejouent ensemble. Comme un gros cadeau de Noël qu’ils offrent au public venu les voir. Adanowsky (basse), Christophe Lagarde (guitare) et Ghani “Abdul” (2) El Hindi (batterie) réunis sur scène, sept ans et six mois après le “Nikola Acin Tribute” au Gibus (27 juin 2008). Sept ans et sept mois après l’ultime prestation scénique du chanteur-guitariste Nikola Acin au sein de son groupe The Hellboys
(9 mai 2008, Gibus).
Le groupe des concerts 2015/2016 de Johnny Hallyday.
Au premier rang : Philippe Almosnino et Yarol Poupaud.
Dans cette formation, se trouvent trois cuivres
(Allen Hoist, Renaud Gensane, Thomas Henning)
et deux choristes (Stefan & Ricko Filey)
ayant fait partie du super groupe
de Christophe Maé en 2013/2014
(tournée “Je veux du bonheur”).
Ils sont entourés de Yarol Poupaud et Philippe Almosnino. Deux (des trois) guitaristes émérites de la tournée
“Rester vivant” de Johnny Hallyday. Un nouveau
JH Show incroyable, deux heures trente de rock roll
et de rhythm’n’blues. Compte rendu des concerts
des 27 & 29 novembre 2015 à Bercy en ligne début janvier
sur ce même site.
Philippe Almosnino et Jean-Philippe,
Sporting Club de Monaco,
28 juillet 2015.
Six-cordes en chef au sein des Wampas de 1992 à avril dernier, Almosnino est un as du son surf rock’n’roll tendance Vincent Palmer (Bijou). Chez Johnny Hallyday live, « Phil Almos » (comme le présente Le Rocker Le Plus Terrible au public à chacun de ses concerts) joue aussi country, pedal steel tranquillos, dobro.
Mais pas ce soir pour le répertoire Hellboys, qui ne s’y prête pas, hormis quelques sonorités sur la ballade
“Zero Hour”. Il était aussi un camarade régulier de sorties de Nikola (soirées, concerts) en tant que spectateurs.
Philippe et Jean-Philippe.
The Hellboys au Bus Palladium : une fantastique
et vibrante prestation de quarante minutes. Pleine d’adrénaline, d’émotions électriques, tout en guitares. Trois guitaristes sur scène, comme chez Johnny,
ça l’effectue.
Ça démarre à toute berzingue avec “Mutant Love”, morceau qui ouvrait les prestations scéniques du groupe. Les deux premiers couplets chantés par Adanowsky, le suivant par Yarol, avec Christophe aux chœurs du refrain (« She gave me mutant love! / She gave me mutant love! »). Dès cette chanson, la magie des retrouvailles, l’intensité du rock roll joué par les Hommes en chemises (faux) léopard, la ferveur sont là.
Rareté : le premier Compact Disc Laser
(introuvable), édition japonaise,
des Hellboys.
Les Hellboys ont toujours le feu sacré lorsqu’ils jouent ensemble, pile poil pareil qu’avant. Un son chromé, bourré de guitares électriques maîtrisées et acérées,
dignes de l’album supersonique “Mutant Love”
(2006, Bonus Tracks Records).
The Hellboys, 27 juin 2006,
festival “Airwaves Rock Festival”
à La Cigale (Paris).
(© Olivier Maitre)
En plus, physiquement, les gars sont restés les mêmes (Adanowsky arbore en prime un beau chapeau),
comme sur les photos d’époque.
Ils sont liés à jamais par un très bon état d’esprit commun : camaraderie, joie de jouer de la musique électrique, foudroyante douleur partagée ensemble
lors du départ de leur frère d’armes Nikola,
foi inaltérable dans le rock roll, etc.
Adanowsky, 27 juin 2006,
La Cigale (Paris).
(© Olivier Maitre)
Toutes les personnes qui ont vécu l’épopée “Rock’n’roll Friday”, qui ont connu (ou juste vu en concert)
Nikola Acin, savent que ce moment musical, là,
tout de suite, est super fort à vivre.
Que ce soit dans le public (Caroline de Maigret,
Gustave et Clod Naast, Christian Eudeline, Géant Vert, Manœuvre père et fille, le caméraman Thomas Boujut, etc.) ou sur scène : Niki Demiller & les Brats, Second Sex, Parisians, qui ont joué ce soir avant les Hellboys (ainsi que Benjamin Kerber des Shades, alias DJ Fanfaron).
Christophe Lagarde,
27 juin 2006, La Cigale (Paris).
(© Olivier Maitre)
Deuxième morceau : “King of the Mambo”, entre Mano Negra, The Clash et probablement les groupes anglais
de ska noir & blanc du début des années 1980. Yarol au chant. « I’m a bronco, I’m a wild man / I’m the king
of the mambo sound / (…) I’m an international gypsy /
The original rude boy / A play-boy and a gambler » :
un bel autoportrait gouailleur, sans se prendre au sérieux, de Nikola Acin.
Yarol Poupaud (orgue, guitare),
27 juin 2006, La Cigale (Paris).
(© Olivier Maitre)
Entre déhanchements ska mid tempo (donc pas à la “tiguilup tiguilup” rapidos et c’est très bien comme ça) et guitares funk rugueuses solides. « Ah, c’est dingue de faire ça, ah ah ah ! », dit Yarol juste après. Rigolard, heureux, prenant son pied de rejouer ces morceaux écrits et composés par mister Acin.
Moment calme et recueilli avec la ballade noctambule “Zero Hour”, dans une atmosphère proche de Heartbreak Hotel (le duo country rock’n’roll électroacoustique fondé par Nikola & Yarol). Là où Nikola la chantait d’une voix plutôt “basse”, Yarol choisit de l’interpréter en élevant
la sienne.
Nikola Acin dans le "Rock Press Club"
(Canal Jimmy) en 1999.
Chanteur des Alligators, de Pow Wow, accompagné par les Stevensons de 2010 à 2014 (et actuellement en trio nouvelle formule), Alain Chennevière n’est pas présent
à Paris ce 22 décembre. S’il avait été dans la capitale,
cet ami d’Acin aurait été l’interprète idéal du “Brand
New Cadillac” revisité par les Hellboys. Il y aurait mis
son style vocal doo wop’n’roll wolly bully et son érudition rockabilly.
À la place, on a droit à Hugo Prostitutes. Il aborde ce titre d’une tout autre manière vocale, juvénile, à la punk et façon voix témoin. Sur cette version-là, c’est uniquement la musique live, terrible, des Hellboys qui retient l’ouïe
et l’attention.
Le groupe déroule volontairement l’intro puis tout
le morceau à la manière de The Clash 1979 (album
“London Calling”), au lieu de le faire à la façon originelle
des Play-Boys 1959 de Vince Taylor. Ils le font en guise
de clin d’œil à Nikola Acin, fan absolu du gang 1977/1982 de Joe Strummer & Mick Jones.
2005 : Adanowsky,
concert The Hellboys
au Triptyque (Paris).
« Les Hellboys, ce n’était pas que du punk rock, c’était aussi… du disco. Eh ouais ! Et c’est de sa faute », balance Yarol. Facétieux, il pointe son doigt vers Adanowsky — devenu d’ailleurs sous ce nom une superstar en Amérique du Sud, même si les Français continuent de l’ignorer.
Et c’est parti pour, association (de jeu) de mots, “Disconnected” (« Disco » + « connected »). La version studio s’inspire du son de basse de Paul Simonon
(The Clash) et du phrasé rap de Joe Strummer
dans “The Magnificent Seven”.
The Hellboys, 27 juin 2006,
La Cigale (Paris).
(© Olivier Maitre)
En live ce soir, c’est aussi le cas. Sauf que ce titre prend des allures expérimentales reggae dub au moment où Yarol se lance dans le solo central de guitare, s’agenouillant au fur et à mesure. Exactement dans l’esprit et le son précis de l’instrumental “La bête humaine (partie 2)”. Ce dernier se trouve à la fin du CD “Mutant Love”, après la plage “Gates of Graceland”
(sous forme de bonus caché).
De gauche à droite :
Nikola Acin, Nicolas Ullmann,
Adanowsky.
Yarol : « Maintenant, il est temps pour nous d’appeler Nicolas Ullmann ! Il va vous expliquer pourquoi il est là. »
Nicolas Ullmann (peignoir puis slip tous deux léopard) :« Ça va les Hellboys ? Les Hellboys, c’est un peu comme les rude boys. “Rude Boy” (le film), les Clash, un des groupes préférés de Acin. Ça veut dire qu’il faut être rude, infernal, garnement. Il faut danser, se laisser aller, crier. Il faut convoquer le Acin ! Faites-vous plaisir sur cette chanson et faites n’importe quoi ! »
Surgit la guitare de Christophe Lagarde pour l’intro
de “Burn It Down”. Comme au “Nikola Acin Tribute”,
le showman Ullmann interprète en y allant franco
cette super bombe rock’n’roll imparable, puissante, carrée. Un titre qui a toujours été l’un des moments de bravoure des gigs Hellboys.
Nikola Acin, 27 juin 2006,
La Cigale (Paris).
(© Olivier Maitre)
Après ce “Burn It Down” chaud comme la braise,
l’apogée arrive avec “Besoin de rien”, hymne des Hellboys touchant au mystique. Et qui montre à quel point le rock était, à juste titre, fondamental pour Nikola Acin.
« (…) Pour la cause la plus sacrée / Je suis prêt à me damner / Pour le châtiment divin / Prêt à être condamné /
Je suis fidèle à ma foi / Pour les cent prochaines
années. (…) »
Chacun sur scène (Christophe, Yarol, Ghani, Adan’, Philippe) donne tout ce qu’il a. Côté public, pareil, on profite : ce sont les dix dernières minutes où l’on peut revoir les Hellboys ensemble, sur scène. Pour une période indéterminée. « Rendez-vous dans dix ans au Bus Palladium, ah ah ! », annonce Yarol, relax, connivence totale. Hey, d’accord ! Ou même largement avant.
Nikola Acin et Adanowsky,
concert The Hellboys, 2005,
au Triptyque (Paris).
À l'extrême gauche : Christophe Lagarde.
À la batterie : Ghani El Hindi
Toujours sur “Besoin de rien”, les anciens (façon de parler, 25 ans à tout casser) des concerts “Rock&roll Friday” pogotent, montent sur scène. Gustave Naast
se déchaîne comme un dingo dans la danse. Il se fait aussi porter quelques instants par des spectateurs.
« Pourquoi on s’arrête, c’est quoi ce bordel ?! “Je n’ai plus besoin de rien (bis) / Je ne veux plus savoir combien”
(etc.) » : en enthousiaste chef de meute, Yarol fait prolonger le titre pour une durée totale d’une dizaine de minutes. Sans que la tension ne retombe, au contraire.
Nikola Acin
dans le livre “Kids rock” (2010) de Busty.
(photo couleur : © Marion Ruszniewski)
Superbe final électrisant d’un concert aussi excitant
et fort en émotions, même si c’est d’une autre façon, que les shows “Rester vivant” de Johnny Hallyday à Bercy.
« Toute cette soirée, on n’aurait jamais pu la faire sans Nikola Acin à qui on pense très fort. Et qui est avec nous
ce soir. Il est là, on le sent, ON LE SENT !! »
(© Yarol Poupaud, juste avant “Besoin de rien”)
François Guibert,
spectateur des concerts des Hellboys & Heartbreak Hotel.
Et lecteur des articles de Nikola Acin parus de 1995 à 2008 dans “Rock&Folk”.
(27 décembre 2015)
Photo fond rouge :
les Hellboys sur la scène de la Cigale,
quelques instants avant le début
de leur concert, 27 juin 2006
à La Cigale (Paris).
(© Fabrice Demessence)
(1) : de 2005 à 2008, Yarol et Nikola ont aussi donné plusieurs concerts sous le nom Heartbreak Hotel.
Un palpitant album (CD/DVD), “Snake Eyes” (2009), témoigne de l’alchimie qui se dégageait de ce tandem,
sur scène — et en dehors.
Imaginons Nikola Acin toujours de ce monde terrestre.
Il aurait rédigé de supers articles, reportages, interviews
à propos des concerts 2012/2015 de Johnny Hallyday featuring Yarol Poupaud (et Almosnino depuis cette année). Parmi des dizaines de sujets musicaux possibles sur lesquels écrire.
Depuis 2008, il laisse un grand vide dans la presse rock. Également en tant que chanteur des Hellboys et de Heartbreak Hotel. Heureusement, les albums chefs-d’œuvre “Mutant Love” et “Snake Eyes”, écoutés des milliers de fois, seront toujours là. Fiers, créatifs et aussi passionnants à écouter en 2015/2016 que lors de leur parution.
Enfin, il est évident que Nikola Acin manque énormément à celles et ceux qui le côtoyaient aussi en dehors de la scène (notamment toutes les personnes précitées).
(2) : c’était toujours avec ce prénom que Nikola Acin présentait sur scène ce batteur.
Encadré sous verre depuis le 28 juin 2008 :
le médiator utilisé (et donné)
par Christophe Lagarde
lors du “Nikola Acin Tribute”
le 27 juin 2008 au Gibus (Paris).
Album CDs & DVD live
"Rester Vivant Tour" de Johnny Hallyday.
Sortie CD : 21 octobre 2016.
Sortie DVD : 25 novembre 2016.
Réalisation audio : Yarol Poupaud.
Yarol Poupaud, 22 décembre 2015,
Bus Palladium, concert The Hellboys.
(© Manon Manoeuvre)
• Page spéciale
« Chronique de “Yarol” (2019),
premier album solo
de YAROL POUPAUD »
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• Page spéciale
« Chronique de l’album
“J'ai quelque chose à vous dire”
de DAVID HALLYDAY
+ son concert du 11 janvier 2019
à Enghien-les-Bains (95) »
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• Page spéciale
« Compte rendu des concerts
“Tribute to BOBBIE CLARKE,
VINCE TAYLOR & SES PLAY-BOYS,
JOHNNY HALLYDAY
(“Les rocks les plus terribles”)”
de RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN
— le 26 mai 2018
au Jazz Club Méridien Etoile (75017)
— avec JOEY GRECO
le 13 juin 2018
au Jazz Café Montparnasse (75014 Paris) »
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• Le concert intégral (102 mn)
“Vaincre le cancer”
de JOHNNY HALLYDAY
le dimanche 10 juillet 2016
à l'Opéra Palais Garnier
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert du groupe
“RESTER VIVANT TOUR”
de JOHNNY HALLYDAY
le 9 décembre 2017
à La Madeleine (Paris) »
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert “Rester vivant”
& “De l'amour”
de JOHNNY HALLYDAY
les 27 & 29 novembre 2015
+ 2 & 3 février 2016
à BERCY / ACCORHOTELS ARENA
(Paris) »
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• Les concert parisiens
de JOHNNY HALLYDAY
à l'ACCORHOTELS ARENA/BERCY
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— Dimanche 29 novembre 2015 :
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— Mardi 2 février 2016 :
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— Mercredi 3 février 2016 :
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Interview de MANOU ROBLIN,
parolière de huit textes
de l'album "Johnny, reviens !
Les rocks les plus terribles" (1964)
de JOHNNY HALLYDAY »
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(avec compte rendu détaillé)
« JOHNNY HALLYDAY
(+ DJ PHILIPPE MANOEUVRE)
le 15 décembre 2013
au TRIANON (Paris) »
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(avec compte rendu détaillé)
« Le show
“BORN ROCKER TOUR”
de JOHNNY HALLYDAY
le 16 juin 2013
à BERCY (Paris) »
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• Page spéciale
« Compte rendu
des trois concerts
de JOHNNY HALLYDAY
les 15, 16 & 17 juin 2012
au STADE DE FRANCE
(Saint-Denis) »
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« JEAN-PHILIPPE SMET
(JOHNNY HALLYDAY),
AUDREY DANA
& JULIEN COTTEREAU
dans la pièce
“LE PARADIS SUR TERRE”
de TENNESSEE WILLIAMS
au THEATRE EDOUARD VII (Paris) »
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