HEARTBREAK HOTEL le 2 decembre 2006 et le 31 mars 2007 au NOUVEAU CASINO (Paris).
• HEARTBREAK HOTEL
(en première partie des NAAST)
le samedi 31 mars 2007
au Nouveau Casino (Paris) :
Nikola Acin et Yarol Poupaud
— alias le duo Heartbreak Hotel — assurent la première partie des Naast comme il y a quatre mois au même endroit. Le public répond de façon aussi enthousiaste et chaleureuse que
le 2 décembre 2006, tapant dans les mains joyeusement et spontanément.
“O' Caroline”, “La veille” ou “Hollywood Rose” : des chansons aux ambiances roots cowboy, du rockab’ acoustico-électrique & country fifties (pas du tout de la country à la Eddy Mitchell mollassonne variétoche par exemple).
Les thèmes sont parfois mélancoliques et ont le blues : « Cette chanson parle de quelque chose que certains d’entre vous n’ont pas vécu : les difficultés de la vie conjuguale… Mais ça vaut le coup ! », a dit l'Hellboy Acin en intro d’une ballade, en s’adressant au parterre de jeunes adolescentes devant la scène.
Yarol Poupaud, assis avec sa guitare électrique, assure les chœurs (et le chant lead sur un morceau). Debout, le charismatique Nikola, aux poses rock'n'roll classe à la Chris Isaak ou comme sur les photos d’Elvis jeune, avec sa gratte acoustique, tient la scène comme d’hab’ avec assurance et bon esprit, comme il le fait au sein des Hellboys mais de façon plus décontract’ et roots (logique, car la musique des Hellboys est 100 % électrique, speed et nerveuse, à l’image de leur tube scénique “Besoin de rien”).
François Guibert (1er avril 2007)
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• HEARTBREAK HOTEL
(en première partie des NAAST)
le samedi 2 décembre 2006
au Nouveau Casino (Paris) :
Les deux guitaristes
Nikola Acin et Yarol Poupaud (deux Hellboys)
— alias le duo Heartbreak Hotel —
ouvrent pour les Naast en interprétant une dizaine de chansons country très 50s (pas du tout la country façon “Eddy Mitchell RFM années 1970/1980” et encore moins genre Garth Brooks).
Le son de leur musique est assez wild, plutôt rockab' pour Nikola (en plus de poses et d'attitudes Elvis 50s) et plutôt bluesy pour maestro Yarol. Plein de feeling, d'émotions, ils font une country pas ennuyante du tout, très sauvage et énergique !
François Guibert
(3 décembre 2006)
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