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Concerts "Le retour du kif" de LES MALKA FAMILY les 19 et 20 decembre 2019 a La Maroquinerie (Paris) : compte rendu.
Chronique de "YAROL" (2019), premier album solo de YAROL POUPAUD.
DAVID HALLYDAY ("Le temps d'un concert") : chronique de son album "J'ai quelque chose a vous dire" et de son concert du 11 janvier 2019 a Enghien-les-Bains (95).
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MALKA FAMILY, album "Le retour du kif" (2017) + concerts a La Cigale (Paris) et au Chinois ("Tous a la Discomobile !" a Montreuil) en janvier 2018 : chronique detaillee.
Concert du groupe du "RESTER VIVANT TOUR" de JOHNNY HALLYDAY le 9 decembre 2017 a La Madeleine (Paris) : compte rendu.
JOHNNY HALLYDAY (concerts "Rester vivant" et "De l amour") les 27 et 29 novembre 2015 + 2 et 3 fevrier 2016 a Bercy AccorHotels Arena (Paris) : compte rendu.
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JOHNNY HALLYDAY le 15 decembre 2013 au TRIANON (Paris) : compte rendu.
Dernier concert parisien de LITTLE RICHARD, le 7 juin 2005 a L'OLYMPIA : compte rendu.
GERARD BLANCHARD le 24 juin 2013 au THEATRE DU PETIT SAINT MARTIN (Paris) : compte rendu.
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RACHID TAHA "ZOOM" le 16 mai 2013 au TRIANON (avec MICK JONES) et le 12 juillet 2013 sur la place de la Republique (Paris) : compte rendu.
Compte rendu du show "MISTER D TOUR" de DICK RIVERS : au CASINO DE PARIS 2011, à l'OLYMPIA (2012), à Noisy-le-Grand et Clamart (2013).
JEAN-LUC LAHAYE le 30 mars 2013 au BATACLAN (Paris) : compte rendu.
SUPERBUS "SUNSET CLUB TOUR" le 11 decembre 2012 a l'OLYMPIA (Paris) : compte rendu.
Concerts live "STARS 80" au GRAND REX et MADER a Villeneuve (oct. 2012) : comptes rendus.
CHRIS ISAAK le 12 octobre 2012 au GRAND REX (Paris) : compte rendu.
LES AVIONS le 3 octobre 2012 au SCOP CLUB (Paris) : compte rendu.
DIDIER WAMPAS AND THE BIKINI MACHINE, SUGAR AND TIGER, EFFELLO ET LES EXTRATERRESTRES le 29 septembre 2012 a la MAROQUINERIE (Paris) : compte rendu.
JOHNNY HALLYDAY "TOUR 2012" les 15, 16 et 17 juin 2012 au STADE DE FRANCE (Saint-Denis) : compte rendu.
ICI PARIS, "LE RETOUR" (2012) : chronique detaillee du nouveau CD et du show 2012.
INXS le 11 decembre 2011 au BATACLAN (Paris) : compte rendu.
JEAN-PHILIPPE SMET dans "LE PARADIS SUR TERRE" au THEATRE EDOUARD VII (Paris) : compte rendu.
"TRIBUTE TO PIERO CACCIA" avec YAROL POUPAUD, MARIE FRANCE, CONTROL CLUB, BERTRAND BURGALAT le 31 mai 2010 au GIBUS (Paris).
HEARTBREAK HOTEL (YAROL POUPAUD, ALAIN CHENNEVIERE, HUGO HOOKA HEY, TONY TRUANT, HUBERT 06 THE HUB, THOMAS DARMON, GAEL, JOCELYN, CLARA, NAOMI GREENE) le 26 fevrier 2010 au SCOPITONE (Paris).
HEARTBREAK HOTEL (YAROL POUPAUD and friends) le 22 janvier 2010 au POINT FMR (Paris).
"NIKOLA ACIN TRIBUTE" (YAROL POUPAUD, THE HELLBOYS, HEARTBREAK HOTEL, VINCENT PALMER, ALAIN CHENNEVIERE et de nombreux guests) le 27 juin 2008 au GIBUS (Paris).
THE HELLBOYS le 9 mai 2008 au GIBUS (Paris).
HEARTBREAK HOTEL le 2 decembre 2006 et le 31 mars 2007 au NOUVEAU CASINO (Paris).
THE HELLBOYS au "AIRWAVES ROCK FESTIVAL" le 26 juin 2006 a LA CIGALE (Paris).
THE HELLBOYS le 2 juin 2006 au GIBUS (Paris).
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JOHNNY HALLYDAY le 15 decembre 2013 au TRIANON (Paris) : compte rendu.





© Frédéric Doucet
(15 décembre 2013)



Concert de JOHNNY HALLYDAY
le 15 décembre 2013
au TRIANON
en écoute dans son intégralité
(captation amateur)
sur ce lien :
CLIQUEZ ICI




JOHNNY HALLYDAY


(direction musicale :
YAROL POUPAUD)

+ 1ère partie : DJ PHILIPPE MANŒUVRE
(& DJ YAROL POUPAUD)

Concert au profit
de l’association La Bonne Étoile,

le dimanche 15 décembre 2013
au TRIANON (Paris) :

«
Bonsoir ! Il m’est arrivé un drôle de truc jeudi soir, annonce Philippe Manœuvre devant les deux platines
qui trônent à l’avant de la scène.
J’étais à mon journal,
et je reçois un coup de téléphone de Seb Farran. Il me dit : “Qu’est-ce que tu fais dimanche soir ? Il y a Johnny qui donnera un concert au Trianon. Et il veut que tu chauffes
la salle.” »

« Alors, on est là ensemble pendant trois quarts d’heure, une heure
(sifflements du public, qui trépigne d’impatience de voir le king). Oui, je sais, mais vous êtes là pour une bonne cause et on va passer de la bonne musique. Ça va faire plaisir au patron. »



Voici la sélection de ce disc-jockey :

• 
“Get Rhythm” (Johnny Cash).


Un titre de Screamin’ Jay Hawkins. Le disque semble rayé ou, en tout cas, saute au même endroit à plusieurs reprises première grimace de Manœuvre. L’assistant, présent durant le set, vient à la rescousse. Finalement,
bye Screamin’ et on enchaîne avec…

«
… Un titre de Peter Watson ! »

“The Way I Walk” (Jack Scott).



«
Un p’tit Lynyrd, ça vous irait ? » et hop, “Sweet Home Alabama” (Lynyrd Skynyrd). Manœuvre vient sur le devant de la scène, fait taper dans les mains. Et comme
à plusieurs reprises durant ce “DJ Set”, il gigote en improvisant à tout-va ses pas de danse. Tel un dingofan
de rock’n’roll qu’il est depuis plusieurs décennies.

En veste et pantalon jean, Yarol arrive à la fin de cette version originale de “Cartes postales d’Alabama”.
Il pioche dans les vinyles situés en dessous des platines.



On ne sait pas trop pourquoi mais, pendant tout
le “DJ Set”, Rémi Bouet (président du fan club Limited Access) reste planté au fond de la scène. Les bras croisés ou, à la Jacques Chirac, les mains dans les poches de son patalon.



« Vous l’aurez remarqué,
poursuit le Mad Man’,
Yarol est avec nous. Lui aussi a une collection de disques rockabilly et souhaitait vous la faire partager. À partir
de maintenant, on va avoir une sélection de Yarol. »

“Trouble” (Elvis Presley).

“Red Hot” (Billy Lee Riley).

“Baby Let’s Play House” (pas par Elvis).

“Oh Baby Doll” (Chuck Berry).



Pendant “Red Hot”.
(© encorock.blogspot.fr)




Resté dans les parages, Manœuvre déclare : « Yarol voudrait que vous bougiez lorsqu’il va arriver tout à l’heure avec le patron. Est-ce que vous pouvez lui promettre ? »
La salle : « Ouaaaissssss !!!!! »


Yarol part dans la coulisse se préparer pour le concert, Manœuvre reprend les commandes (l’assistant n'est pas loin, à deux mètres au cas où).

 “Manish Boy” (Muddy Waters).

« Qu’est-ce que vous diriez d’un petit inédit d’Amy Winehouse ? », hop, c’est parti.

“I Don’t Want To Discuss It” (Little Richard).

“Santa Claus Is Back In Town” (Elvis Presley).

“(She’s) Sexy & 17” (Stray Cats).



Un gros rock (des années 1970 ?) américain bien lourd (solution trouvée par Christian Eudeline : Great White).
Le disque saute, semble rayé. Mad Man navré. « Si vous voulez, depuis cet après-midi, les platines ne marchent pas. On va travailler avec une seule platine (au lieu des deux) », annonce-t-il, dépité. Mais il ne va pas s’en laisser compter.

Un rock normal, ambiance 70s, avec les mots
« Thunder Dome » dedans.

“Jumpin’ Jack Flash” (pas par les Rolling Stones,
et avec un son à la ZZ Top 
— précision de Christian Eudeline : c'est Motörhead).

 “I Live The Life I Love”
(par Muddy Waters ? sous réserves).

 
Manœuvre se déhanche à nouveau, cette fois sur un titre de Bo Diddley. 
« Et voilà, c’est presque terminé. Vous avez été super sympas. Merci à tous de votre indulgence. Je suis désolé de ces problèmes incontrôlables de platine. Moi, c’est la première fois que je faisais David Guetta. Et d’ailleurs, je… (le micro se coupe. Manœuvre, accablé, sur scène :
« Oh noooonn ! », rires spontanés et bon esprit dans
le public. Le micro remarche). Je vous souhaite un extraordinaire concert ! »



Juste après la prestation de Manœuvre, les titres “Brand New Cadillac”, “Jimmy Jazz”, “Hateful”, “Rudie Can’t Fail”, “Spanish Bombs” des The Clash remasterisés 2013 sont diffusés dans la sono. Marc Lavoine est
au premier rang du premier balcon, avec sa femme Sarah, côté droit face à la scène. Il tape des mains, se trémousse à chaque instant durant ces chansons qu’il connaît à l’évidence
par cœur.



Marc Lavoine
le 15 décembre 2013
au Trianon.
(© D.R.)



Le dimanche 16 juin 2013 à Bercy (Paris), Johnny Hallyday délivrait avec le Yarol Poupaud’s Wild Rock’n’Roll Gang une prestation historique, impeccable. C’était, d’une certaine façon, “la” prestation de sa vie d’artiste chanteur de scène. Ce soir-là, tout est devenu magique dès lors qu’ils ont entamé “Nashville Blues” (quatrième morceau de la set list) en lieu et place de l’inutile “Je te promets” (joué les deux soirs précédents).



De plus, on imagine Yarol, Greg Zlap & co surboostés
par le set 100 % rock’n’roll roots qu’ils avaient fait
au Théâtre de Paris dix-huit heures plus tôt.



Dans l'inconscience la plus totale, la compagnie de disques Warner a commis la monumentale erreur de graver pour l’éternité sur CéDés et DéVéDés la soirée planplan du samedi 15 juin. Celle qui fut télévisée. Sans doute l’a-t-elle fait parce qu’il y a des invités “prestigieux”.



Or, justement, ces derniers alourdissent et ralentissent
de façon considérable le show. La palme d’or revenant
à Eddy Mitchell qui, avec son scandaleux je-
m’en-foutisme, saccage “La musique que j’aime”. Sans que cela ait l’air de le gêner plus que cela, vis-à-vis des musiciens qui sont en train de jouer pour rattraper le fait qu’il ne soit pas vocalement dans les clous et le tempo.



Pile poil six mois plus tard, ce dimanche 15 décembre, Johnny Hallyday fait tout aussi fort. Il est dans la même intensité vocale et scénique que le dimanche 16 juin à Bercy. Avec en prime un répertoire axé 95 % rock’n’roll et blues. Gorgé de feeling, de dinguerie, de spontanéité
et de très bonne ambiance, sur scène comme dans l’assistance.

Les 5 % restants étant “Que je t’aime”, dans une version OK normale et même d’ailleurs plutôt intimiste, et la puissante chanson “L’envie”. À cela, il y a aussi le fait qu’il se produit dans une salle de mille places. Ce qui, pour lui, solide et mythique rocker originel, fait office
de club.



C’est comme si on avait la possibilité spatio-temporelle
d’assister à l’un de ses concerts à l’Olympia 1964, avec Joey & The Showmen (le groupe des “Rocks les plus terribles”).



21h, ça démarre 1 2 3 4 carré, pète-sec, nerveux, électrique en diable avec “Je suis né dans la rue”. Greg Zlap, le pied sur l’un des retours, chauffe le public avec son harmonica en le regardant dans les yeux. Le son et l’ambiance sont percutants, électriques en diable.



Les guitares de Yarol Poupaud et Robin Lemesurier, rythmiques ou dans les solos, sont aiguisées, acérées.
Yarol et Johnny ont constitué pour cette tournée 2012/2013 un vrai groupe, en aucun cas un orchestre.



Ces musiciens sont tellement bons, ils ont la musique
du diable chevillée au corps : Fred Jimenez (basse),
Alain Lanty (piano), Frédéric Scamps (orgue), Vincent Polycarpe (batterie, qui remplace Geoff Dugmore
pour cette date unique à Paris), Amy Keys et Sy Smith (chœurs).



Au cours de cette tournée d’un an et demi, Yarol a insufflé un esprit libertaire et dingo 100 % “Rock’n’roll
Friday” (1). C’est le meneur de bande qu’il fallait
à Johnny Hallyday pour ses concerts.



Le show de ce soir au Trianon est idéal. Quasiment rien que du rock’n’roll, du blues, rempli de bonnes vibrations électriques. Avec une set list de rêve. Son seul défaut est qu’il n’y figure aucun morceau des “Rocks les plus terribles”. Un petit “Ô Carole” (“Carol” de Berry Chuck), “Johnny, reviens !” (“Johnny B. Goode”, le même)
ou, encore plus fort, n’importe quelle autre pépite
(très rarement interprétée sur scène) de ce fantastique
disque éternel : on serait alors au paradis des JH
(“Les JH” = les fans de Johnny).



Après la profession de foi “Rock’n’roll Man” parolée par Michel Mallory, arrive “Nashville Blues”. On s’y croirait, dans un honky tonk de là-bas. Johnny laisse parler son âme de petit Franco-Belge rêvant de cowboyeries, d’Elvis, Eddie Cochran, etc., et d’une Amérique “d’avant”, idéalisée et imaginaire.



Johnny Hallyday 1960
dessiné par
© Alain Chennevière 2013


“Le pénitencier” est le moment le plus “normal” du set, avec “Que je t’aime” et “L’envie”. “La terre promise”, pétaradante et joyeusement furieuse, bondit quant à elle d’un bout à l’autre de chaque vers pendant quatre à cinq minutes. Avec toujours l’harmonica de Zlap en gimmick (et lors d’un solo).



C’est d’ailleurs lui qui mène par le bout de son harmonica la zébulonesque “Gabrielle”, avec les guitares de Yarol et Robin. Johnny se lâche encore plus. Il envoie avec humour, au milieu de la chanson, au moment où celle-ci s’électrifie, à l’attention de madame Chirac : « Ah Bernadette ! Tu brûles dans mon cœur, c’est une illusion de douceur. » Euphorie dans la salle. Soudain, nous sommes mille poteaux-Salut les Coupaingues souriant ou riant
à cette dédicace sympa, chantée et improvisée.


À son balcon, Marc Lavoine s’éclate spontanément, comme un petit fou, comme un enfant. Durant tout
le concert, il n’arrête pas de sourire, les yeux rieurs,
de bouger sur son siège, de taper avec ses mains
sur le rebord de la rembarde.



“Joue pas de rock’n’roll pour moi”, canetwouy (copyright Dick Rivers) rock bonne franquette, réchauffé par l’harmonica de Greg Zlap, est chanté par Johnny, sa guitare à la main. On entend celle-ci distinctement
dans la sono cela mérite d’être signalé.



Vient une séquence bien réjouissante de rocks anglophones de base. D’abord, un “Be Bop A Lula” réclamé (et obtenu) par Les JH du milieu de la salle,
en fosse. “Blue Suede Shoes” du tonnerre, avec un max’
de chouettes échos dans les enceintes, pour que ça sonne comme dans les enregistrements américains des années 1950. Et “I’m Gonna Sit Right Down And Cry (Over You)”.



“Hey Joe” est rugueux et sauvage. Une interprétation proche de la version studio d’Alain Bashung 1985, aussi bien dans la voix de Johnny que dans l’orchestration.



Le boogie carré et nerveux “Le bon temps du rock’n’roll” déchaîne les passions. Tout le monde reprend en chœur
les paroles, spécialement les mots « rock’n’roll ! (…) rock’n’roll ! (etc.) ».



Donc, après un “Que je t’aime” incongru dans ce set,
le psychédélisme déploit ses ailes avec une version de “Voyage au pays des vivants” digne de l’album de 1969 dont il est issu. Johnny, notamment, fait des merveilles lorsqu’il envoie des « oh non ! noon ! nooon !! aaaaah » entre les couplets. Et aussi lors de la fameuse phrase « je ne recommencerai jamais ! », répétée une vingtaine de fois.



Au même titre que “Rock’n’roll man”, “Fils de personne” est aussi l’une des principales cartes de visite et d’identité de Johnny. En quatre minutes, cette chanson symbolise et revendique bien son univers musical ainsi que ses origines sociales, le fait qu’il ne doit rien à personne et qu’il s’est fait quasiment tout seul. Yarol (qui chante le dernier couplet) et le groupe prennent un pied immense
à jouer ce genre de morceaux.



“L’envie” roule OK, sans surprise. Elle impressionne moins qu’à Bercy ou au Stade de France où elle était déclamée avec, en fond de scène, les mots-clés (de ces paroles) inscrits en lettres géantes au fur et à mesure
que Johnny les chantait.



Au rappel : “La musique que j’aime”. Cette fois, contrairement au CD/DVD live officiel 2013, pas d’Eddy Mitchell désinvolte pour massacrer comme c’est pas permis cet archi-standard de Hallyday. Une énième fois
de plus, en live, “La musique…” fonctionne toujours.
Elle embarque tout le monde dans la salle.



Beaucoup plus intéressante et surprenante est la fabuleuse version d’un obscur titre rockabilly : “Dead Or Alive”
de Lonnie Donegan. Avec un pic spécial au moment où il chante les mots « I don’t like your hard rock hotel! ». Cette version 2013 mériterait de figurer sur l’album “Les rocks les plus terribles” (avec un texte en français).



En clôture du set, à 22h25 : “L’amour à mort”, un rock actuel, de série B, pas inoubliable. Mais qui, en concert, met l’ambiance comme il faut. Avec le public qui reprend
en chœur les paroles du refrain.




Johnny Hallyday au Trianon, c’est exactement le genre
de spectacle, intimiste, authentique, rock’n’roll, “retour
aux sources” (2) qu’il faut qu’il fasse à Paris lors de sa tournée prévue en 2015. Sans séquences avec orchestre symphonique, même si celles-ci sont plaisantes à entendre et transportent les spectateurs. Par contre, avec des cuivres. Et ça serait vraiment l’idéal que cela se déroule dans des salles de quelques milliers de personnes (pas plus), du style Olympia ou Palais des Sports.

François Guibert
(24 décembre 2013)



(1) : les 
“Rock'n'roll Friday” étaient des soirées-concerts une fois par semaine au Gibus et au Triptyque, de 2005 
à 2008. Yarol y était l’un des musiciens réguliers sur scène, et le régisseur-intendant d’un soir de tous les groupes qui s’y produisaient : The Hellboys, Naast, Heartbreak Hotel, Brats, Plastiscines, Les Shades, etc.





(2) : comme on dit  même si, en fait, Johnny n’arrête pas d’en faire, des “retours aux sources” , à chaque spectacle.






 Page spéciale
« Chronique de “Yarol” (2019), 
premier album solo 
de YAROL POUPAUD » 

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• Page spéciale
« Chronique de l’album 
“J'ai quelque chose à vous dire” 
de DAVID HALLYDAY 
+ son concert du 11 janvier 2019 
à Enghien-les-Bains (95) » 

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 Page spéciale
« Compte rendu des concerts

“Tribute to BOBBIE CLARKE,
 VINCE TAYLOR & SES PLAY-BOYS,
JOHNNY HALLYDAY 
(“Les rocks les plus terribles”)”

de RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN

— le 26 mai 2018 
au Jazz Club Méridien Etoile (75017)

— avec JOEY GRECO 
le 13 juin 2018 
au Jazz Café Montparnasse (75014 Paris) » 

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 Page spéciale 
(avec compte rendu détaillé)
 

« Concert du groupe 
“RESTER VIVANT TOUR” 
de JOHNNY HALLYDAY 
le 9 décembre 2017 
à La Madeleine (Paris) » 
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 Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert “Rester vivant” 
“De l'amour”
de JOHNNY HALLYDAY
les 27 & 29 novembre 2015
+ 2 & 3 février 2016
à BERCY / ACCORHOTELS ARENA
(Paris) »
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• Les concert parisiens 
de JOHNNY HALLYDAY
à l'ACCORHOTELS ARENA/BERCY
sont en écoute sur ces liens :

— Dimanche 29 novembre 2015 :
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— Mardi 2 février 2016 :
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— Mercredi 3 février 2016 :
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 Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Interview de MANOU ROBLIN, 
parolière de huit textes 
de l'album "Johnny, reviens ! 
Les rocks les plus terribles" (1964) 
de JOHNNY HALLYDAY »
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 Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert “Mutant Love”
(pour Nikola Acin)
de YAROL POUPAUD
& THE HELLBOYS
& PHILIPPE ALMOSNINO
le 22 décembre 2015
au BUS PALLADIUM (Paris) »
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Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Le show
“BORN ROCKER TOUR
” 
de JOHNNY HALLYDAY
le 16 juin 2013
à BERCY (Paris) »

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 Page spéciale
« Compte rendu
des trois concerts
de JOHNNY HALLYDAY
les 15, 16 & 17 juin 2012
au STADE DE FRANCE
(Saint-Denis) »

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 Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« JEAN-PHILIPPE SMET
(JOHNNY HALLYDAY),
AUDREY DANA
& JULIEN COTTEREAU
dans la pièce 
“LE PARADIS SUR TERRE

de TENNESSEE WILLIAMS 

au THEATRE EDOUARD VII (Paris) »
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