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HEARTBREAK HOTEL • THE HELLBOYS • NIKOLA ACIN |
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Site (non officiel) consacré à HEARTBREAK HOTEL et THE HELLBOYS (NIKOLA ACIN). |
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Concerts hommages a JOHNNY HALLYDAY ("Les rocks les plus terribles"), BOBBIE CLARKE, VINCE TAYLOR ET SES PLAY-BOYS par RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN + JOEY GRECO les 26 mai et 13 juin 2018 a Paris : compte rendu.
13 juin 2018, Jazz Café Montparnasse (75014) : Simon Elliot (clavier),
Jean-Michel Coroller (guitare), Gérald Coulondre (batterie),
Ricky Norton, Joey Greco (guitare), Romain Decoret (basse).
Photo amateur prise par François Guibert.
1°) RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN
Concerts « Tribute to BOBBIE CLARKE,
VINCE TAYLOR & SES PLAY-BOYS,
“Les rocks les plus terribles”
de JOHNNY HALLYDAY »
— le samedi 26 mai 2018
au Jazz Club Méridien Etoile (75017 Paris)
— avec JOEY GRECO
le mercredi 13 juin 2018
au Jazz Café Montparnasse (75014 Paris) :
Vince Taylor & les Play-Boys + “Les rocks les plus terribles” (1) de Johnny Hallyday : Ricky Norton rend
un fabuleux hommage, plein de vie, à ces monuments
de l’histoire du rock’n’roll français. Parmi leurs points communs : Bobbie Clarke, membre des Play-Boys et de Joey & les Showmen (groupe accompagnant Johnny
sur “Les rocks”).
Ricky a récemment sorti un fantastique album,
“Tribute to Bobbie Clarke” (mon disque préféré parmi
toutes les nouveautés de 2018). Quarante-quatre minutes avec, ô joie, uniquement des titres rapides sauf un
(“Love Me”).
Il chante trois “Rocks les plus terribles” (“Au rythme
et au blues”, “Susie-Lou”, “Rien que huit jours”),
un original en français saluant l’âme de son ami Clarke (“Hey Bobbie !”), un Elvis (“Big Hunk O’ Love”),
un Jerry Lee Lewis (“Great Balls of Fire”) et neuf morceaux (2) de prédilection de Vince Taylor 1958/1964.
Sur scène comme sur disque, Ricky assure vocalement
en anglais aussi bien qu’en français. Aucun accent chancelant pour chanter en version originale les mots
des pionniers 50s anglophones. Maîtrisant son art, il a
le feeling, dans sa voix comme dans sa prestance scénique.
Avec ses concerts consacrés à Vince Taylor, et aux côtés des New Showmen, il atteint un summum, une grâce idéale. Ce spectacle se doit de tourner en Île-de-France ainsi qu’aux quatre coins de l’Hexagone.
Que ce soit pour un public d’initiés (cercles rockabilly)
ou pour faire découvrir le son et le style Vince auprès
d’un public beaucoup plus large (lors de festivals, etc.).
En les New Showmen, il a trouvé le groupe parfait pour reprendre les standards gravés pour l’éternité sur vinyles par Vince et ses Play-Boys.
La presque trentaine de titres du répertoire de Vince Taylor & ses Play-Boys présentée live par Ricky et les
New Showmen est jouée et chantée avec le même son rare, mystique, vaudou, ensorcelant et envoûtant des disques studio Barclay 1961/1965.
Ils rejouent sans copier les mêmes détails, sonorités, ambiances, sons de guitares, roulements, coups dingos
et chorus de batterie.
Les New Showmen semblent être le seul groupe en activité qui joue à ce point, aussi bien, avec un tel degré de perfection, les versions vincetayloriennes des succès de Ricky Nelson, Eddie Cochran, Elvis Presley, Chuck Berry, Johnny Kidd, etc.
Où, en plus, la spontanéité et l’envie d’avoir envie de faire du rock et roll sont présentes tout du long du concert.
À la batterie : le 13 juin, Gérald Coulondre (de la génération prépunk rockab’ 1977, ex-Banlieue Est) ;
et le 26 mai, son aîné Bernard Bayoux (qui a vu Johnny, Joey Greco & les Showmen à l’Olympia 1964).
Tous deux ont assimilé les automatismes spontanés de Bobbie Clarke qu'on entend dans “Les rocks” et les enregistrements studio de Vince & ses Play-Boys.
Ils reproduisent de façon vivante, nette et précise
le moindre coup de cymbale, batterie, double
grosse caisse, ou caisse claire de Bobbie que l’on entend
sur ces disques. (3)
Bassiste tout-terrain rock et roll, Romain Decoret connaît lui aussi, depuis des décennies, ses classiques des 50s
et 60s.
Il a accompagné beaucoup de rockers français première génération (Long Chris en 2015/2016, Jicé Warning
au sein de Hôtel du Rock, etc.) et étrangers quand ils se produisent dans l’Hexagone (dont Joey et Bobbie).
Il a souvent joué avec le clavier Simon Eliott,
autre membre émérite des New Showmen.
Lors du set spécial “Les rocks les plus terribles”
(le 13 juin), Joey Greco et Jean-Michel Coroller
se complètent comme il faut. Joey en 2018, c’est l’énergie avant tout, la fougue, les solos, la mise en avant, la fronde, l’éclate.
Durant ces cinquante minutes live avec Joey, Jean-Michel Coroller devient guitariste rythmique, tel Claude Djaoui au sein des Showmen 1964. Il est dans l’orfèvrerie subtile, raffinée, élégante. Il est là pour servir, accompagner, mettre en valeur le jeu du leader guitar hero américain légitime de la soirée.
Lors des deux autres sets du 13 juin ainsi que durant
les trois heures de concert (en trois sets) du 26 mai
au Jazz Méridien Etoile, Jean-Michel Coroller est
l’unique guitariste, assurant solos et rythmique.
Sur l’album “Les rocks”, à chaque intervention (entre deux vers chanté par Johnny, ou durant les solos),
Joey Greco forme comme un dialogue guitare/chant
avec Johnny (exemples : durant les couplets de “Johnny, reviens !” et “Ô Carole”).
Sur scène, en 2018, il est le soliste. Et c’est ce qu’on attend de lui en tant que spectateur. Ricky lui-même, avec son chant, met en avant Joey.
Ricky est au top quand il interprète les rocks de Hallyday. D’abord, avant tout, ceux de l’album “Johnny, reviens !”. Sur scène, avec ou sans Joey Greco, il chante “Lucille”, “Celui que tu préfères”, “Frankie & Johnny”,
“Oh ! Laisse-la partir”, “Rien que huit jours”,
“Au rythme et au blues”, “Susie-Lou”, “Ô Carole”,
et bien sûr “Johnny, reviens !”.
Puis les morceaux de “Rock à Memphis” (1975) :
“37e étage”, “La fille de l’été dernier”, “Un garçon sur la route” (trois rocks signés Long Chris, présent dans la salle le 13 juin aux côtés de son acolyte actuel, le guitariste Grégoire Garrigues).
“Comme un fou”, le bonus “Train sans espoir (Mystery Train)” (deux bons petits textes signés Michel Mallory).
Et “Ma chérie, c’est moi” (toujours du Mallory
mais versant balourd).
Long Chris live 2016/2017. Avec les Jingling Spurs.
De gauche à droite : Alexis Mazzoleni,
Romain Decoret, Long Chris, Simon Elliot, Fred Kolinski.
Ainsi que “Elle est terrible”, “Rebel Rouser” (sans Ricky, logique, vu que c’est instrumental). “Les bras en croix”, chouette composition signée Johnny Hallyday pour tous les Copains français cow-boys d’opérette s’imaginant « dans la vallée de l’Oklahoma ». Sur ce titre, Jean-Michel adopte un son Hank Marvin (Shadows).
L’inoffensif “Souvenirs souvenirs” est rejoué avec les mêmes sons de batterie peu sûre d’elle et de guitare gentillette de l’original bringuebalant de 1960.
Certes bien chantées, les ballades consensuelles (“Douce violence”, “Retiens la nuit”, “L’idole des jeunes”, “Tes tendres années”) tout comme “Avec une poignée de terre” ralentissent le concert. On vient pour entendre des titres échevelés, sauvages.
“J’ai pleuré sur ma guitare” est toutefois très émouvante. Ricky étant fan d’Elvis (créateur de la version originale
de ce titre, “Loving Arms”), il le chante façon Presley 70s.
A gauche : Manou Roblin,
parolière de huit “Rocks les plus terribles”
de Johnny Hallyday.
Lors de l'enregistrement de cet album.
Il y a des bonus : “Excuse-moi partenaire”, superbe tandem Ricky/Joey. Ce dernier reproduit à l’identique l’intro et les ornements divers de la version de 1964, tandis que Ricky chante de tout son cœur (comme toujours).
“Memphis” (Chuck Berry prépsychédélisé) en deux versions : d’abord, celle vocale, inspirée de Vince Taylor 1964 & les New Play-Boys (alias les Showmen 1964,
du moins Bobbie Clarke et Joey Greco). Puis, en frontman solo, l’instrumental des Showmen 1964.
Johnny Hallyday et Manou Roblin
dans la loge de l'Olympia 1964.
Joey conviendrait sans problème qu’il n’est pas un grand chanteur. Aussi, il reprend sans prétention vocale “Oh ! Pretty Woman” de Roy Orbison (en anglais). Tout en jouant le gimmick guitaristique (l’intro, etc.) de cette ode pop universelle à La Femme et les divers sons de guitare, secondé à la six-cordes rythmique par Jean-Michel Coroller.
Joey Greco et Johnny Hallyday
durant l'enregistrement
des “Rocks les plus terribles”.
Ce magnifique set, rentre-dedans, impulsif, nerveux, carré, avec Joey Greco en vedette américaine restera dans la mémoire en tant que spectateur. Venu des Amériques, Joey Greco en 2018 qui joue “Les rocks les plus terribles” à Paris ! Le rêve !
C’est génial de voir jouer, à quelques mètres de la scène, dans un confort d’écoute optimal, le guitariste qui a été aux côtés de Johnny Hallyday pour son mythique Olympia en 1964.
Celui qui, avec le batteur Bobbie Clarke, demeure à jamais l’architecte sonore des musiques du chef-d’œuvre que sont “Les rocks”. En compagnie d’un groupe,
The New Showmen, et d’un chanteur, Ricky Norton,
qui assurent totalement.
François Guibert
(30 juillet 2018)
Le 33 tours “Les rocks les plus terribles”,
d'origine, dédicacé par Bobbie Clarke en 2004
et Joey Greco le 13 juin 2018.
(1) : un disque écouté avec enthousiasme des milliers
de fois, dix à vingt fois par mois, depuis sa découverte
en 1995. C’est l’album de ma vie, avec “39 de fièvre”
de Marie France et “Mystère” de La Femme.
(2) : “I’ll Be Your Hero”, “Baby Let’s Play House”,
“Big Blond Baby”, “Love Me”, “Shakin’ All Over”, “Ready Teddy”, “Hello Marylou”, “What’cha Gonna Do”, “Memphis Tennessee”.
(3) : au sein du groupe Rock’n’Roller, Gérald a accompagné Vince Taylor en 1975 et 1976 pour plusieurs concerts. Et une prestation télé en mars 1977.
Simon, Romain, Joey et Bobbie ont improvisé “Whole Lotta Shakin’ Goin’ On” avec Johnny Hallyday dans l’émission “Sacrée soirée” (TF1) en 1992.
Joey, en provenance spéciale des Etats-Unis d’Amérique, et Romain étaient présents en l’église de la Madeleine
le 9 décembre 2017 pour les obsèques de Johnny.
N.B. : tout fan ou personne ayant connu en vrai ou vu sur scène le chanteur des Play-Boys se doit d’acquérir le livre “Vince Taylor, le perdant magnifique” (Editions Saphyr, Kalohé Productions, paru en janvier 2015, 40 €)
de Thierry Liesenfeld.
1961 : Johnny Hallyday et Vince Taylor
au club Saint-Hilaire (Paris).
Ce dernier a effectué un travail de titan en réunissant
des centaines de photos, dont les trois quarts sont rares ou très souvent inédites. Il y a de très nombreuses coupures
de presse originelles, scannées telles quelles (et c’est tant mieux), d’époque. De 1959 (année de sortie de “Brand New Cadillac”) au décès du chanteur en 1991.
1er mai 1964 à Reims : dans la coulisse.
Johnny vient de donner son dernier concert
avant son service militaire qui commencera
le 12 mai en Allemagne.
Les dates des sessions d’enregistrement, les noms des musiciens sur tel titre, la discographie mondiale sont également recensés. De façon lisible, claire, attrayante.
1er mai 1964 à Reims : dans la coulisse.
Johnny vient de donner son dernier concert
avant son service militaire qui commencera
le 12 mai en Allemagne.
La maquette est un exemple de pertinence et d’attractivité en matière de livre sérieux et chouette sur un artiste rock et roll.
Sur 380 pages format A4, son texte retrace minutieusement la vie, le parcours de Vince Taylor. Contrairement à l’ignoble bouquin pourri “Vies et mort de Vince Taylor” (Fayard, 2014) de Fabrice Gaignault
qui le piétine allègrement, Thierry respecte le rocker
dans sa façon d’écrire.
1964 : Johnny Hallyday
durant son service militaire
et Vince Taylor.
Gaignault, lui, relate moults détails et péripéties ultraglauques, spécialement à la fin des années 1970
et durant les années 1980. En plus, tout au long du livre,
il y a un gros problème d’absence de guillemets
(ou d’italiques) dès qu’il cite les propos d'autres personnes que lui (ou dont il a repris des propos dans d’autres livres).
1982 : Johnny Hallyday
(période “Quelque part un aigle”, “La peur”)
et Vince Taylor
(période Big Beat Records & Jacky Chalard).
Pour les 20 ans de “Salut les copains”.
N’achetez pas le torchon craignos de Gaignault. Précipitez-vous par contre sur la splendeur qu’est
“Le perdant magnifique” de Liesenfeld. Cet ouvrage
est à conserver toute sa vie. Pour le feuilleter, lire, relire régulièrement. Personne ne fera jamais mieux que cela
en matière d’ouvrage sur Vince.
2°) RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN
jouent VINCE TAYLOR ET LES PLAY-BOYS
le mardi 11 décembre 2018
au Cosy Montparnasse (Paris) :
Ricky Norton et les New Showmen (Jean-Michel Coroller à la guitare, Romain Decoret à la basse, Bernard Bayoux
à la batterie) jouent vingt-quatre standards rock et roll (incluant des ballades) enregistrés par Vince Taylor
& les Play-Boys.
Ils ont le son, l'esprit des Play-Boys. C'est un régal d'entendre en live en 2018/2019 ce répertoire sensationnel, avec donc le son Play-Boys, et un chant avec un accent anglais irréprochable.
Ce spectacle spécial Vince mérite de tourner un maximum en Île-de-France et dans toute la France. D'autant qu'il n'y a aucun autre hommage à Vince (encore moins à Bobbie Clarke) le temps de tout un concert par d'autres groupes ou artistes. Et surtout, il faut le redire : c'est le son des Play-Boys. Fantastique concert.
François Guibert
(12 décembre 2018)
Nouveau CD single de
RICKY NORTON “chante JOHNNY” :
“Hymne à l'amour”
(Bercy 1995 + “Lorada Tour” 1995/1996),
“Sur ma vie” (Stade de France 1998),
“Et maintenant” (Stade de France 2009).
Enregistré en studio le 9 novembre 2018, le CD single “Ricky Norton chante Johnny” est d’un très haut niveau vocal. Trois standards du final de Bercy 1995, des Stade de France 1998 et 2009, que Ricky chante remarquablement, à sa manière, sans copier Johnny (ni Aznavour, Bécaud, Piaf), d’une grande dignité et sobriété.
Qu’il ait pu enregistrer ces trois titres en une seule journée pour un tel résultat bluffant est une preuve de plus de la diversité de ses propositions artistiques. C’est aussi bien que lorsqu’il chante “Les rocks les plus terribles” ou Vince Taylor et ses Play-Boys.
François Guibert
(12 décembre 2018)
Dans le “courrier des lecteurs”
de “Juke Box Magazine” (février 2018) :
une lettre de Romain Decoret.
Il est bassiste de Long Chris,
Bobbie Clarke (décédé en août 2014),
Joey Greco et plein d'autres rockers français
(et internationaux lorsqu'ils viennent jouer en France).
Dédicace de Jean-William Thoury
(réalisateur, auteur, manager de Bijou de 1976 à 1984,
réalisateur et auteur de l'album “39 de fièvre” de Marie France,
chef des infos à “Juke Box Magazine” depuis 1984).
— Ecoutez le set intégral
“LES ROCKS LES PLUS TERRIBLES” (48 mn)
de JOEY GRECO + RICKY NORTON
& THE NEW SHOWMEN
le mercredi 13 juin 2018
au Jazz Café Montparnasse (75014 Paris)
sur ce lien :
CLIQUEZ ICI
— Ecoutez les chansons du concert
“Tribute to JOHNNY HALLYDAY
& BOBBIE CLARKE”
de RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN
(+ JOEY GRECO)
le mercredi 13 juin 2018
au Jazz Café Montparnasse (75014 Paris) :
• “Rebel Rouser” (instrumental) :
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• “Elle est terrible” :
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• “Train sans espoir”
(sessions “Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Retiens la nuit”.
• “Les bras en croix” :
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• “Souvenirs souvenirs”.
• “Douce violence”.
• “Comme un fou”
(“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Venez tous avec moi”
(texte LONG CHRIS, 1974) :
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• “L'idole des jeunes”.
• “La fille de l'été dernier”
(texte LONG CHRIS,
“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Tes tendres années” :
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• “37e étage”
(texte LONG CHRIS,
“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “J'ai pleuré sur ma guitare” :
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• “Un garçon sur la route”
(texte LONG CHRIS,
“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Memphis Tennessee”
(version vocale Vince Taylor 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Lucille”
(“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Au rythme et au blues”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Celui que tu préfères”
(“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Frankie & Johnny”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Oh ! Laisse-la partir”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Excuse-moi partenaire”
avec JOEY GRECO :
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• “Susie-Lou”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Ô Carole”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Rien que huit jours”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Oh ! Pretty Woman”
(Roy Orbison chanté
par JOEY GRECO) :
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• “Memphis”
(version instrumentale
Joey & The Showmen 1964)
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• “Johnny, reviens !”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964)
avec JOEY GRECO :
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• “Shakin' All Over”
(Vince Taylor & ses Play-Boys) :
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• “Ready Teddy”
(Vince Taylor & ses Play-Boys) :
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• “Love Me”
(Vince Taylor & ses Play-Boys) :
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• “I Like Love”
(Vince Taylor & ses Play-Boys) :
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• “Hello Mary Lou”
(Vince Taylor & ses Play-Boys) :
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• “What'cha Gonna Do”
(Vince Taylor & ses Play-Boys) :
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• “Whole Lotta Shakin' Goin' On”
avec JOEY GRECO.
— Ecoutez les chansons du concert
“Tribute to JOHNNY HALLYDAY
& BOBBIE CLARKE”
de RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN
le samedi 26 mai 2018
au Jazz Club Etoile Méridien (75017 Paris) :
Set JOHNNY HALLYDAY
• “Johnny, reviens !”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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• “La fille de l'été dernier”
(texte LONG CHRIS,
“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Train sans espoir”
(sessions “Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Frankie & Johnny”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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• “Susie-Lou”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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• “Ma chérie c'est moi”
(“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Retiens la nuit”.
• “Avec une poignée de terre”.
• “Les bras en croix” :
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• “Au rythme et au blues”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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• “Douce violence”.
• “Souvenirs souvenirs” :
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• “Comme un fou”
(“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Venez tous avec moi”
(texte LONG CHRIS, 1974) :
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• “Celui que tu préfères”
(“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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• “Oh ! Laisse-la partir”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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• “L'idole des jeunes”.
• “Rebel Rouser” :
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• “Excuse-moi partenaire” :
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• “Un garçon sur la route”
(texte LONG CHRIS,
“Rock à Memphis”, 1975) :
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• “Tes tendres années”.
• “Elle est terrible” :
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• “J'ai pleuré sur ma guitare” :
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• “Rien que huit jours”
(texte MANOU ROBLIN,
“Les rocks les plus terribles”, 1964) :
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Set VINCE TAYLOR & SES PLAY-BOYS
• “I'll Be Your Hero” :
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• “Baby Let's Play House” :
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• “Big Blond Baby” :
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• “Love Me” :
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• “Shakin' All Over” :
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• “Ready Teddy” :
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• “Hello Mary Lou” :
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• “So Glad You're Mine” :
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• “I Like Love” :
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• “C'Mon Everybody”
• “Long Tall Sally” :
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• “Mean Woman Blues” :
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• “Don't Leave Me Now” :
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• “Blue Jean Bop” :
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• “What'cha Gonna Do” :
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• “Sweet Little Sixteen” :
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• “Pledging My Love” :
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• “Rip it Up” (& “Ready Teddy” bis) :
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• “Brand New Cadillac” :
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• “Twenty Flight Rock” :
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• “Trouble” :
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• “Memphis Tennessee” :
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• “Move Over Tiger” :
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• “Maybellene” :
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— Ecoutez les chansons du concert
“Tribute to VINCE TAYLOR & LES PLAY-BOYS”
de RICKY NORTON & THE NEW SHOWMEN
le mardi 11 décembre 2018
au Cosy Montparnasse (75015 Paris) :
• “I’ll Be Your Hero” :
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• “Baby Let’s Play House” :
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• “Big Blond Baby” :
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• “Love Me” :
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• “Shakin All Over” :
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• “Ready Teddy” :
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• “Hello Mary Lou” :
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• “So Glad You’re Mine” :
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• “I Like Love” :
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• “Don’t Ever Let Me Go”
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• “Don’t Leave Me Now” :
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• “Blue Jean Bop” :
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• “What’cha Gonna Do” :
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• “Sweet Little Sixteen” :
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• “Pledging My Love” :
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• “Rip It Up” :
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• “Brand New Cadillac” :
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• “Twenty Flight Rock” :
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• “Trouble” :
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• “Maybellene” :
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• “Move Over Tiger” :
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• “Memphis Tennessee” :
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Écoutez les instrumentaux studio 1964
de JOEY AND THE SHOWMEN :
— “Memphis” :
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— “Surf Train” :
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— “Rinky Dink” :
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— “I Can't Sit Down” :
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— “Au revoir Johnny” :
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— “Wow Wow Wow Wow” :
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— “Cauchemar” :
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— “Wild Week-End” :
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Le nouveau Compact Laser de Ricky Norton,
“Ricky chante Johnny”. Paru mi-juin 2018.
L'album “Chansons bizarres pour gens étranges (vol. 3)”
de Long Chris. Paru en mars 2018.
Produit et composé par le guitariste Grégoire Garrigues
(Super Wagner, Grégoire IV, Claudia Colonna & ses Guépards, etc.)
Le Compact Disc Laser “Music is Life” (2018)
de Dave McMurray, saxophoniste en chef
du "Rester vivant tour" de Johnny Hallyday.
• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Interview de MANOU ROBLIN,
parolière de huit textes
de l'album “Johnny, reviens !
Les rocks les plus terribles” (1964)
de JOHNNY HALLYDAY »
sur ce lien :
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• Page spéciale
« Chronique de “Yarol” (2019),
premier album solo
de YAROL POUPAUD »
sur ce lien :
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• Page spéciale
« Chronique de l’album
“J'ai quelque chose à vous dire”
de DAVID HALLYDAY
+ son concert du 11 janvier 2019
à Enghien-les-Bains (95) »
sur ce lien :
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert du groupe
“RESTER VIVANT TOUR”
de JOHNNY HALLYDAY
le 9 décembre 2017
à La Madeleine (Paris) »
sur ce lien :
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• Le concert intégral (102 mn)
“Vaincre le cancer”
de JOHNNY HALLYDAY
le dimanche 10 juillet 2016
à l'Opéra Palais Garnier
est en écoute sur ce lien :
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert “Rester vivant”
& “De l'amour”
de JOHNNY HALLYDAY
les 27 & 29 novembre 2015
+ 2 & 3 février 2016
à BERCY / ACCORHOTELS ARENA
(Paris) »
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Concert “Mutant Love”
(pour Nikola Acin)
de YAROL POUPAUD
& THE HELLBOYS
& PHILIPPE ALMOSNINO
le 22 décembre 2015
au BUS PALLADIUM (Paris) »
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« JOHNNY HALLYDAY
(+ DJ PHILIPPE MANOEUVRE)
le 15 décembre 2013
au TRIANON (Paris) »
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« Le show
“BORN ROCKER TOUR”
de JOHNNY HALLYDAY
le 16 juin 2013
à BERCY (Paris) »
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• Page spéciale
« Compte rendu
des trois concerts
de JOHNNY HALLYDAY
les 15, 16 & 17 juin 2012
au STADE DE FRANCE
(Saint-Denis) »
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• Page spéciale
(avec compte rendu détaillé)
« JEAN-PHILIPPE SMET
(JOHNNY HALLYDAY),
AUDREY DANA
& JULIEN COTTEREAU
dans la pièce
“LE PARADIS SUR TERRE”
de TENNESSEE WILLIAMS
au THEATRE EDOUARD VII (Paris) »
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