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SUPERBUS "SUNSET CLUB TOUR" le 11 decembre 2012 a l'OLYMPIA (Paris) : compte rendu.
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HEARTBREAK HOTEL (YAROL POUPAUD, ALAIN CHENNEVIERE, HUGO HOOKA HEY, TONY TRUANT, HUBERT 06 THE HUB, THOMAS DARMON, GAEL, JOCELYN, CLARA, NAOMI GREENE) le 26 fevrier 2010 au SCOPITONE (Paris).
HEARTBREAK HOTEL (YAROL POUPAUD and friends) le 22 janvier 2010 au POINT FMR (Paris).
"NIKOLA ACIN TRIBUTE" (YAROL POUPAUD, THE HELLBOYS, HEARTBREAK HOTEL, VINCENT PALMER, ALAIN CHENNEVIERE et de nombreux guests) le 27 juin 2008 au GIBUS (Paris).
THE HELLBOYS le 9 mai 2008 au GIBUS (Paris).
HEARTBREAK HOTEL le 2 decembre 2006 et le 31 mars 2007 au NOUVEAU CASINO (Paris).
THE HELLBOYS au "AIRWAVES ROCK FESTIVAL" le 26 juin 2006 a LA CIGALE (Paris).
THE HELLBOYS le 2 juin 2006 au GIBUS (Paris).
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SUPERBUS "SUNSET CLUB TOUR" le 11 decembre 2012 a l'OLYMPIA (Paris) : compte rendu.




 
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SUPERBUS

Album “SUNSET”
+ Concerts “SUNSET CLUB TOUR”

le samedi 3 novembre 2012
au Centre culturel Jacques Prévert
de VILLEPARISIS (77)

et le mardi 11 décembre 2012
à L’OLYMPIA (Paris) :

Avec l’album “Sunset” paru fin août 2012, les Superbus sont devenus le grand groupe français de pop à la fois radiophonique et scénique, tendance rock’n’roll. Ce disque est le meilleur, haut la main, de leur discographie.

Il fait partie des œuvres majeures de la pop’n’roll francophone des trente dernières années, près des albums de Lio (1) dont Jennifer Ayache est d’ailleurs une fille spirituelle , de Lina From Paris, du 33 tours “Allô le monde…” d’
Ici Paris ou du premier CD (paru en 2012)
de Mademoiselle Nineteen.




À part “Rock One” ou “Rock Sound” (magazines toutefois destinés aux adolescents et post-teenagers), les Superbus n’ont jamais trop été pris “au sérieux” (dans le sens “sintéresser à leur musique”) par la presse rock.

Cela vient peut-être du fait que leurs chansons d’avant devaient apparaître, à tort, comme des youplaboumeries futiles, inspirées par les punk rockeries MTV des 90s.
Et qui, du coup, ne semblaient pas trop “crédibles”
si jamais il y a besoin d’avoir une quelconque “crédibilité” quand on écoute telle musique
ou que l’on joue dans tel groupe.



Or, il y a une évolution nette et flagrante entre les nouvelles chansons, épurées, gagnant en simplicité,
et les anciennes. Cela reste dans le même esprit pop.

Mais la différence, c’est que neuf morceaux (sur onze, dans la version CD standard) de “Sunset” ont en eux comme une sorte de mélancolie positive, plus mûre. Et sont de grandes compositions pop, pleinement abouties.




La réalisation et le mixage de l’Américain Billy Bush
les subliment et les transcendent. Sous leur apparente légèreté, les chansons, toutes écrites et composées par Jennifer Ayache, sont de super pépites pop’n’roll.




Le 11 décembre à l’Olympia (complet) de 21h25 à 23h05, l’interactivité entre le groupe est le public est maximale. Rien à voir avec le peu d’ambiance (hormis les premiers rangs constitués de jeunes dingosuperbusfans), côté spectateurs, de la première date du “Sunset Club Tour”
le 3 novembre à Villeparisis. Alors que la set list est
la même sur ces deux dates.




Ce soir à l’Olympia, cela fait plaisir de voir et entendre une salle réceptive. Ça y va franco dans la bonne humeur, la danse, les sifflements de joie, de spontanéité. Jennifer écrira d’ailleurs le lendemain sur la page Facebook officielle de Superbus : « C’était dingue ! Le meilleur
des trois concerts que l’on a donné dans cette salle (2).
Vous êtes tellement incroyables. Merci de nous faire vivre tout ça depuis plus de dix ans. »



Toutefois, c’est sur les nouvelles chansons pourtant les meilleures  que le public réagira le moins durant celles-ci. Même si les applaudissements sont très nourris aussitôt après, l’écoute (voire la découverte pour plusieurs personnes du public ?) des nouveaux morceaux est avant tout attentive et concentrée de la part des spectateurs.

Pendant l’interprétation des tubes (
“Butterfly”, etc.), 
là ce sera le déchaînement de vibrations sainement
vitaminées dans le public.



Les Superbus ont 100 % raison, à fond les ballons,
de jouer l’intégralité de “Sunset” : c’est la bonne attitude
à avoir quand un artiste ou un groupe vient de sortir un nouveau disque. Aller de l’avant, évoluer, présenter
en live un répertoire inédit, récent, tout frais. De plus, comme c’est leur meilleur opus, cela serait très frustrant s’ils ne jouaient que quatre ou cinq morceaux du disque.




Chanson à l’humeur à la fois introspective et tournée
vers des jours meilleurs, “All Alone” est une onirique entrée en scène. Les paroles semblent résumer l’état d’esprit saudadesque de Jennifer de fin 2010 à début 2012.

C’est-à-dire la période où Superbus était en veille, afin que chacun(e) fasse ses activités pour se ressourcer
et mieux se retrouver par la suite, de façon régénérée.




Avec ses sonorités de fadasseries “Dance Machine” (Technotronic, Corona et toutes ces horreurs) du début des 90s mâtinées de synthés à la Eurythmics, “Just Like The Old Days” figure en deuxième position de la set list.

Ce dance track de troisième zone, extrait du par ailleurs solide et très bon album “Lova Lova” (2009), est là avant tout pour inciter le public à se trémousser et à se libérer.




Heureusement, arrive “Whisper”, captivante chanson pop en français, représentative de l’ADN de Superbus, avec son gimmick de guitares/synthés à la Lio 80s. Cette fois,
le concert démarre pour de bon.




Premier succès interprété ce soir parmi les nombreux tubes radios proposés ce soir, “Lola” enthousiasme la foule. Elle se met à danser comme une entité dingotte, constituée de centaines de personnes, et à reprendre
les paroles. Cela sera le cas pour chacun des hits
qu’ils joueront.




On revient à l’album “Sunset” avec la présentation
live de plusieurs morceaux phares de cet album.
Dont “Mrs Better”, avec ses chœurs féminins pleins 
de pep’s et gonflés à bloc.




Chose importante à souligner : lorsqu’elle chante en anglais des textes (qu’elle a écrits elle-même), Jennifer
a un phrasé qui coule et roule tout seul. Pile poil pareil
que lorsqu’elle interprète des chansons en français.
Elle assure sans problème au niveau accent.




Du coup, on n’a pas la désagréable impression
d’une barrière de langue. On n’éprouve pas non plus
la sensation d’être gêné parce qu’elle ne chante pas
en français. Sur ces quatre ou cinq titres anglophones 
de son cru, en fait c’est comme si elle chantait en français.




Le régal continue avec “L’annonce”. Là encore, un must de new fresh pop song, excellente en tous points. Paroles, musique, voix charmeuse de miss Ayache. Comme Lina From Paris, Lio, Mademoiselle Nineteen ou encore Azadée d’Ici Paris, la Jenn’ chante de façon pop’n’roll.

C’est-à-dire avec sa voix normale et de l’esprit glamour, qu’il soit joyeux ou mélancolique. Pas de vocalises,
de hurlements façon chanteuses canadiennes.
Ni de démonstrations techniques et compagnie.




“Get Real” est l’un des deux moments “en trop” du set (avec “Just Like The Old Days”). En live comme on stage, ce morceau creux est très bordélique, pas du tout mélodique, en plus d’être rempli de breaks stressants.




“Smith’n’Wesson” est une superbe ballade électroacoustique ensoleillée. Elle met en valeur le timbre de voix de Jenn’, ainsi que le soin apporté dans la création de ses textes et de ses musiques. Avec en prime, sur ce coup, la guitare aux tonalités fifties rockab’ early sixties The Shadows de Patrice.




L’ambiance sur scène devient cabaret high tech avec “Lova Lova”, à la structure musicale très élaborée.
L’un des musts de l’album du même nom.




Autres réussites de l’album “Sunset” : “Mini” et “Calling You”. Là encore, des textes en anglais, mais avec des mots qui swinguent et claquent les uns aux autres, comme pour “Mrs Better”. Et dont l’interprétation roule 100 % OK
à fond les ballons, joyeusement poppy en diable.




“Mini” est aux Superbus ce que le surf yé-yé aômdidouwam “Little Daewoo” (2003) est aux Wampas : une ode à une petite voiture conduite par une Jenn’ qui s’éclate en mode rockab’ pin-up new burlesque. Et qui trace son chemin droit devant : « I’ve done so many many miles on the road honey / Better than Bardot / And twice as hot / What I got, she has not / Coz’ I'm so damn fast, and she’s so slow / My Mini Mini is a real go go »




Défilent ensuite les mégahits connus de tous et toutes, devant un public ultra réceptif : “Butterfly”,
“Radio Song”, “Apprends-moi”, “Le rock à Billy”
et le balourd “Travel The World”. Le groupe en livre des interprétations impeccables, aussi réussies que les versions studio. Le public participe plus qu’activement à répandre la bonne humeur et à filer encore plus la patate à Jenn’
et sa bande.




Au milieu de ces titres à succès, “Gogo Dance Show”
(de l’album “Lova Lova”) met tout autant le feu.
Appuyé par les chœurs « G! O! G! O! D! A! N! C! E! SHOW! », les grosses guitares, les silhouettes noir & blanc de danseuses en fond de scène. Super flash scénique,
à la fois visuel et sonore.




Le groupe respecte les arrangements originels des versions studio. Ces derniers sont très produits, travaillés dans une optique radiophonique, subtils et soignés. Ce qui fait
qu’a priori, ils ne sont pas évident à reproduire en live.

Pourtant, Patrice Focone (guitares lead), Michel “Mitch” Giovannetti (guitares), François Even (basse, claviers)
et Greg Jacks (batterie, percussions) y arrivent.
En y insérant en plus l’indispensable côté live.
En plus, Greg a un impressionnant jeu dance rock funk carré, avec une frappe énergique.




“L’été n’est pas loin” est une envoûtante ballade sixties made in 2011. Comme sur “Smith’n’Wesson”, guitare acoustique en bandoulière, Jenn’ chante en français
et de manière chaloupée son spleen à la Chris Isaak.




Sur disque, le “Duo” avec Marco Kamaras est doté
d’une ambiance bizarre, lancinante et dérangeante.
Sur ce titre, la voix de Jennifer Ayache n’est pas du tout mise en valeur. Elle sonne de façon linéaire et renfrognée, rappelant celle, dépressive, de Kurt Cobain.

Joué dans une optique sobre et dépouillée le 3 novembre à Villeparisis et le 11 décembre à l’Olympia, et en duo avec Marco, ce morceau à l’ambiance adolescente convainc dans sa version live.




Jennifer l’a déclaré cet automne dans un entretien :
elle a beaucoup apprécié et écouté l’album “Born To Die”
de l’Américaine Lana Del Rey. Du coup, en concert,
elle reprend joliment son hit “Video Games” (là aussi,
des guitares très Chris Isaak). Avec tact et émotion.

Mais c’est nettement plus intéressant de voir et entendre
les Superbus jouer leurs propres compositions plutôt
qu’une reprise d’artiste anglophone.




Très grande chanson (sur le plan artistique et musical) ayant pour thème la vacuité des réseaux sociaux virtuels, “À la chaîne” est l’une des neuf perles de l’album “Sunset”.




Suit l’electro pop attractif “Addictions”, avec en fond
de scène les chouettos images fluos violet mauve et rose
du vidéoclip officiel.




L’épileptique techno rock “La cible”, avec Jenn’ envoyant entre autres des « Paowww ! » percutants sur le refrain, clôture un show rock’n’roll pop rodé, carré et éblouissant. Avec, aux côtés de ses acolytes, une Jennifer Ayache qui mène son “Sunset Club Tour” de main de maîtresse pop model du vingt-et-unième siècle.


François Guibert
(21 décembre 2012)

N.B. : rendez-vous

 le mardi 2 avril 2013 à l'Olympia à Paris,

 le vendredi 12 avril 2013
à la salle des fêtes de Villeneuve-la-Garenne (92),

 et le jeudi 4 juillet 2013
à l'Espace Michel Simon de Noisy-le-Grand (93)
.




(1) : “Pop model” en 1986, “Can can” en 1988,
“Des fleurs pour un caméléon” en 1991, 
“Amour toujours” en 1983.



© Manon Bullet


(2) : Superbus s’est produit à l’Olympia
le 13 novembre 2005 lors du “Pop’n’Tour”,
et le 9 avril 2007 (album “Wow”).




Dans “Le Monde”
(9 avril 2013) :







© Jimmy Bazan
à Los Angeles
(7 février 2013)


Liste des chansons de l'album “Sixtape” 
(sortie le 3 juin 2016) :
• “Strong and Beautiful”
• “Soul Sister”
• “On the River”
• “Next Summer”
• “J'ai déjà”
• “Impensablement”
• “4 tourments”
• “Pour mon père”
• “La mer”
• “Toyboy”
• “The Lighter (Vous auriez du feu ?)”
• “Run”
• “Fin des programmes”.





• Page spéciale 
(avec compte rendu détaillé) 
« SUPERBUS, album “SIXTAPE”
+ concert le 29 octobre 2016 
au Trianon (Paris) »

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